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Ferrari 550 Maranello | ||||||||
Marque | Ferrari | |||||||
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Années de production | 1996 - 2002 | |||||||
Production | 3 083 exemplaire(s) | |||||||
Classe | Voiture de sport Grand Tourisme | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Moteur(s) | V12 , 48 soupapes | |||||||
Cylindrée | 5 474 cm3 | |||||||
Puissance maximale | à 7 000 tr/min : 485 ch (357 kW ) | |||||||
Couple maximal | à 5 000 tr/min : 570 Nm | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Boîte de vitesses | manuelle à 6 rapports | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1 825 kg | |||||||
Vitesse maximale | 3121 km/h | |||||||
Accélération | 0 à 100 km/h en 4,4 s | |||||||
Consommation mixte | 22,9 L/100 km | |||||||
Émission de CO2 | 538 g/km | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé | |||||||
Freins | Freins Avant : Disques ventilés percés (330 mm) étriers 4 pistons Freins Arrière : Disques ventilés percés (310 mm) étriers 4 pistons | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4 550 mm | |||||||
Largeur | 1 935 mm | |||||||
Hauteur | 1 277 mm | |||||||
Empattement | 2 500 mm | |||||||
Voies AV/AR | 1 632 mm / 1 586 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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La Ferrari 550 Maranello remplace la 512M, dernière évolution de la Ferrari Testarossa . Dessinée par Pininfarina , elle marque le retour de Ferrari au moteur V12 avant pour sa GT, architecture abandonnée après la Ferrari Daytona . Les deux générations intermédiaires, la Berlinetta Boxer (365 GT4 BB et 512 BB), et la Testarossa (Testarossa, 512TR et 512M) étaient construites autour d'un 12 cylindres à plat en position centrale arrière.
Après plus de deux décennies de production Ferrari marquées par les performances d’un modèle à moteur central de la gamme classique, la marque a pris un virage important avec l’introduction de la 550 Maranello en 19962 .
Le nouveau modèle était équipé d’un moteur avant, comme son compagnon d’écurie, la 456 GT, et s’inspirait des innovations et des avancées technologiques développées sur ce modèle.
La 550 Maranello a fait ses débuts en juillet 1996, et ce lors d’un important rassemblement Ferrari sur le circuit allemand du Nurburgring . La nouvelle voiture était alors au centre de l’événement. Les pilotes de l’équipe de F1 de l’époque, Michael Schumacher et Eddie Irvine , étaient au volant de cette voiture, ainsi que de nombreux anciens pilotes de l’équipe Ferrari, parmi lesquels les anciens Champions du monde Niki Lauda et Jody Scheckter .
Sans surprise, les lignes de la carrosserie, créée par Pininfarina, rappelaient globalement celles du nouveau modèle 456 GT. Toutefois, le véhicule faisait également un clin d’œil rétro à d’anciens modèles classiques, avec, par exemple, ses doubles fentes d’air d’évacuation situées sur les ailes avant, semblables à celles des modèles 250 GTO et 275 GTB des années 60. Le traitement des feux arrière ressemblait encore plus à celui du modèle légendaire 365 GTB/4 Daytona que sur la 456 GT3 .
Ferrari 550 Maranello (1998)Les avancées technologiques de la période intermédiaire, notamment les systèmes de commandes électroniques de traction et de suspension, ont permis de rendre les véhicules à moteur avant aussi maniables que les modèles à moteur central. L’utilisation de phares haute densité de type homofocal était une caractéristique héritée du modèle F512M précédent. Elle a permis d’éviter le recours aux unités rétractables de la 456 GT, donnant ainsi au véhicule une ligne homogène, que les phares soient allumés ou non.
Les carrosseries étaient montées sur un châssis à empattement de 2 500 mm, soit 100 mm de moins que celui du modèle 2+2 de la 456 GT, avec une voie avant de 1 632 mm et une voie arrière de 1 586 mm. Le véhicule était construit selon la technique traditionnelle utilisant des tubes en acier et intégrant des structures secondaires, afin de supporter les composants mécaniques et de la carrosserie. Ce type de châssis portait la référence F 133 AB. Ce modèle était disponible en conduite à droite ou à gauche, avec direction assistée en série.
La carrosserie était fabriquée en alliage d’aluminium léger et soudée à la structure en acier à l’aide d’un matériau sandwich spécialement formulé, le Feran, qui permettait de souder les deux métaux différents. Les jupes avant et arrière, quant à elles, étaient des pièces moulées en matériau composite. La suspension était indépendante aux quatre roues, dotée de barres antiroulis avant et arrière et de plusieurs niveaux de réglage des amortisseurs commandés électroniquement par le conducteur, permettant d’opter pour un mode de conduite « normale » ou « sportive », associée à un système de contrôle anti-patinage (ASR).
En mode « normal », le cerveau est concentré sur la stabilité en fonction de l’état de la route, réduisant la puissance transmise aux roues via le système de gestion du moteur, ou faisant intervenir le système de freinage ABS pour optimiser la traction. En mode « sportif », le cerveau offre au pilote la possibilité de contrôler lui-même la situation, et ce par ses propres actions.
Les amortisseurs réglables étaient dotés d’un « cerveau » électronique qui contrôlait différentes fonctions, telles que l’angle du volant, la vitesse, la puissance du freinage ou l’accélération, afin d’optimiser les paramètres des conditions de conduite.
Le véhicule était équipé d’une direction à assistance Servotronic sensible à la vitesse, dont le niveau d’assistance dépendait de la vitesse : plus important lors des manœuvres et de plus en plus réduit lors des accélérations. Les roues standard se caractérisaient par un design plus élégant que la version traditionnelle en alliage à cinq branches, dotées de rayons convexes élégants et de jantes 18″ à cinq fixations à boulons, d’une largeur de 8,5″ à l’avant et de 10,5″ à l’arrière. Des freins à disque ventilés équipaient les quatre roues, chaque disque disposant d’un étrier quatre pistons en alliage léger, sans oublier le système de freinage anti-dérapage ABS quatre canaux, intégré au système de contrôle ASR mentionné précédemment.
Le moteur était un dérivé de celui conçu pour la 456 T et présentait la même cylindrée totale, même si celle-ci avait été choisie pour figurer dans le nom du modèle (5,5 litres, d’où le 550), au détriment de la valeur de la cylindrée unitaire utilisée pour la 456 GT, portant la référence 133 A. Le moteur V12 65° avait une cylindrée réelle de 5 474 cm3, avec des dimensions de course/alésage de 88 × 75 mm, quatre soupapes par cylindre, double arbre à cames et lubrification par carter sec. Le bloc, les têtes de cylindre, le carter et les pièces diverses étaient fabriquées en alliage léger et comportaient des chemises de cylindre en alliage traitées au Nicasil et des bielles en alliage de titane. Un système de gestion de moteur à injection/allumage combiné Bosch Motronic 5.2 était présent, ainsi qu’un système d’échappement en acier inoxydable à contre-pression variable, qui devait permettre d’atteindre une puissance en sortie de 485 ch à 7 000 tr/min, pour une boîte-pont de six vitesses + marche arrière.
Ce moteur V12 est réputé très fiable et endurant.
L’habitacle, très ergonomique, était garni de cuir Nappa en série, doté de sièges équipés d’un système de réglage électronique et d’une plage arrière spacieuse. Le véhicule comprenait également des doubles airbags, la climatisation, des fenêtres et rétroviseurs latéraux électriques, ainsi qu’un système stéréo avec lecteur CD. Des sièges sport Daytona étaient proposés en option, ainsi qu’une gamme d’éléments, tels que les accessoires de personnalisation « Carrozzeria Scaglietti » introduits en 1997, et ce pour permettre aux clients d’apporter une touche personnelle à leur véhicule.
La 550 Maranello a été fabriquée entre 1996 et 2001, et chaque véhicule a été immatriculé dans l’ordre de fabrication à l’aide d’un numéro compris entre 99928 et 126807. En 1999.
C'est la dernière Ferrari construite en boite mécanique.
Dans le numéro du 27 novembre 1996 du magazine britannique « Autocar » figuraient les résultats d’un test sur route : avec une durée de 4,6 secondes entre 0 et 60 mph, et de 10,1 secondes entre 0 et 100 mph, la vitesse maximale des voitures du fabricant atteindrait 199 mph. La voiture est également arrivée en tête du classement « Britain’s Best Driver’s Car 1998 » de ce même magazine, qui déclara en 1999 qu’elle « demeure la meilleure GT du marché ».
En 2004, le magazine britannique Evo , après un comparatif avec d'autres modèles de prestige, considère que la 550 Maranello est la meilleure voiture de sport de la décennie 1994-20044 .
En octobre 1998, alors que le modèle 550 Maranello s'illustre sur les circuits du monde entier dans les compétitions internationales, Ferrari décide d'envoyer sur l'anneau de Columbus, dans l'Ohio, une version légèrement modifiée de sa 550 Maranello de route, pour y signer trois records. Sur cet ovale de 12 km de long, la 550 Maranello va en effet couvrir 100 miles à la vitesse moyenne de 306.09 km/h, 100 km à 304 km/h de moyenne, et enfin rouler une heure durant à la vitesse moyenne de 296.11 km/h.
Pour fêter cette pluie de records, le constructeur italien a ensuite décidé de produire 33 exemplaires de la 550 Maranello dans une édition « World Speed Record », reprenant les spécifications exactes du modèle en question.
La Ferrari 550 Maranello apparaît dans plusieurs films au cinéma5 :
550 Maranello, vue avant
550 Maranello, côté
550 Maranello, intérieur
550 Maranello, passager
550 Maranello, moteur
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MOTUL | |
Création | 1853 |
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Dates clés | 1953 : première production d'huiles multigrades, 1966 : fabrication du premier lubrifiant automobile semi-synthèse, 1971 : production de la Century 300V, premier lubrifiant 100 % synthèse conçu pour la compétition automobile, 1977 : premier titre de champion du monde moto, 2001 : création de l'activité MotulTech. |
Forme juridique | SA à directoire |
Siège social | Aubervilliers France |
Activité | Raffinage du pétrole , Lubrification , Chimie |
Produits | Huile moteur Huile de synthèse Liquide de refroidissement Fluide hydraulique Produits de Maintenance Lubrifiants industriels |
Motul est une entreprise française présente dans le monde entier et spécialisée dans la conception, l'élaboration et la distribution de lubrifiants pour moteurs (deux-roues , automobiles et autres véhicules) ainsi que pour l'industrie à travers son activité MotulTech.
Fondée en 1853 à New York et filiale de la New Jersey's Standard Oil de John D. Rockefeller , la société Swan & Finch démarre son activité dans les lubrifiants de haute qualité. Dès 1920, elle se tourne vers l'international en exportant certaines des marques présentes dans son portefeuille telles Aerul, Textul, Motul.
En 1932, Ernst Zaugg négocie avec Swan & Finch la distribution en France des produits de la marque Motul via sa société Supra Penn1 . À noter que déjà à cette époque de l'entre-deux guerres la marque Motul propose une gamme de produits dédiés aux deux-roues.
En 1953, le centenaire de Swan & Finch est célébré par le lancement mondial de la Motul Century, qui devient ainsi la première huile vraiment multigrade sur le marché européen. Swan & Finch cesse cependant ses activités en 1957. Supra Penn, qui a racheté tous les titres de propriétés et les brevets concernant la marque Motul, est rebaptisée du nom du produit qu'elle commercialise et devient Motul S.A.
En 1966 la Century 2100 apparaît sur le marché. Il s'agit du premier lubrifiant automobile semi-synthèse, produit qui fait le bonheur des ingénieurs en compétition puisqu'il supporte des contraintes et des efforts mécaniques dix fois supérieurs aux lubrifiants habituels. En 1971 Motul innove à nouveau avec la Century 300V, première huile 100 % synthèse pour l'automobile.
Motul consolide sa présence internationale dans les années 1980 : l'Allemagne avec Motul Deutschland en 1980, l'Espagne en 1988, les USA en 1989, l'Italie en 1994, l'Asie Pacifique en 2002, la Russie et le Brésil en 2005, l'Inde en 2006. Par ailleurs en 2001 Motul crée une nouvelle activité, MotulTech, spécialisée dans les lubrifiants industriels.
Motul est aujourd'hui présent dans plus de 80 pays et conçoit, élabore et distribue des produits lubrifiants à forte valeur ajoutée technique. Pionnier avec plusieurs produits semi-synthétiques et synthétiques , Motul a toujours privilégié l'innovation, la recherche et le développement . La société est également leader du marché des lubrifiants moto en France.
Dans le domaine sportif, de nombreux constructeurs font confiance à Motul pour leurs développements technologiques en compétition auto/moto. Motul a ainsi développé des collaborations étroites avec des constructeurs tels que Nissan , Yamaha , Subaru , Peugeot 2 , Honda et Suzuki 3 .
Motul a été le premier industriel du lubrifiant à faire appel à la technologie des esters pour la formulation de ses huiles 100 % synthèse automobiles, en capitalisant sur une innovation conçue à l'origine pour l'aéronautique . Les esters , composants à base végétale, bénéficient de propriétés lubrifiantes et de qualités de résistance au cisaillement et à la température hors de commun. La gamme phare de Motul, la 300V, a connu un fort développement grâce à sa présence dans les plus grandes compétitions auto/moto.
La capacité en recherche et développement de Motul est scindée en deux entités qui travaillent respectivement sur les lubrifiants dits "automotive" (automobile, deux-roues, bateau) et les lubrifiants industriels.
Ces produits sont utilisés dans de nombreux secteurs d'activités : sidérurgie , sous-traitants de la mécanique , fabricants de machines et équipements, cimenterie , agro-alimentaire , pharmacie et cosmétique , bois , verre et minéraux , chimie , plasturgie et caoutchouc , horlogerie , textile , constructeurs et équipementiers automobiles, transport ferroviaire , aéronautique .
En tant que spécialiste des huiles de synthèse , Motul est devenu le partenaire de nombreux constructeurs et teams sportifs pour leurs développements technologiques dans les sports mécaniques , la compétition automobile et la compétition motocycliste .
Motul est présent dans de nombreuses compétitions internationales en tant que fournisseur officiel d'écuries : Road racing , Trial , Enduro , Endurance , Superbike , Supercross , Rallycross , championnat du monde des rallyes , FIA GT , 24 Heures du Mans , 24 Heures de Spa , Le Mans Series , Trophée Andros , Paris-Dakar , 24 Heures du Mans moto , 8 Heures de Suzuka , Bol d’Or , 200 miles de Daytona moto... En 1977, Motul remporte son premier titre de Champion du Monde Moto , catégorie Road Racing , avec Takazumi Katayama sur 350 Yamaha .
Course / Catégorie | Année | Pilote | Equipe |
---|---|---|---|
Road racing 350 cm³ | 1977 | Takazumi Katayama | Yamaha |
Road racing 250 cm³ | 1984 | Christian Sarron | Yamaha |
Motocross 250 cm³ | 1986 | Jacky Vimond | Yamaha |
Enduro | 1988 | Gilles Lalay | Honda |
24h du Mans | 1988 | A. Vieira J.M. Mattioli C. Bouheben | Honda |
24h du Mans | 1988 | A. Vieira J.M. Mattioli R. Burnett | Honda |
Motocross 250 cm³ | 1989 | Jean-Michel Bayle | Honda |
Champion rallye Paris-Dakar | 1989 | Gilles Lalay | Honda |
24h du Mans | 1989 | A. Vieira J.M. Mattioli R. Burnett | Honda |
Motocross 250 cm³ | 1993 | Greg Albertyn | Honda |
Road racing 500 cm³ | 1993 | Kevin Schwantz | Suzuki |
Champion du monde Endurance | 1990 | Alex Vieira | Honda |
Road racing 250 cm³ | 1990 | John Kocinski | Yamaha |
Road racing 500 cm³ | 1990 | Wayne Rainey | Yamaha |
24h du Mans | 1990 | A. Vieira J.M. Mattioli S. Mertens | Honda |
24h du Mans | 1991 | C. Guyot N. Dussauge S. Scarnato | Suzuki |
Superbike | 1993 | Scott Russell | Kawasaki |
Endurance | 1994 | Jean-Michel Mattioli Stéphane Mertens | Honda |
Motocross 500 cm³ | 1998 | Andrea Bartolini | Yamaha |
Enduro | 1999 | Guillaume Porte | Gas Gas |
Road racing 500 cm³ | 2000 | Kenny Roberts Jr | Suzuki |
Motocross 250 cm³ | 2001 | Mickaël Pichon | Suzuki |
Motocross 250 cm³ | 2002 | Mickaël Pichon | Suzuki |
Road racing MotoGP | 2004 | Valentino Rossi | Yamaha |
Road racing MotoGP | 2005 | Valentino Rossi | Yamaha |
Superbike | 2005 | Troy Corser | Suzuki |
24h du Mans | 2006 | F. Protat O. Four D. Ribalta | Honda |
Motocross MX2 | 2006 | Christophe Pourcel | Kawasaki |
Motocross MX1 | 2007 | Steve Ramon | Suzuki |
Champion du monde Endurance | 2007 | V. Philippe / W. Costes G. Dietrich M. Neukirchner | S.E.R.T |
Champion du monde Endurance | 2008 | V. Philippe / W. Costes G. Dietrich B. Veneman | S.E.R.T |
Champion du monde Endurance | 2010 | V. Philippe / Fr. Foray / G. Dietrich / D. Sakaï / S. Guintoli | S.E.R.T |
Champion du monde Endurance | 2011 | V. Philippe / Fr. Foray / D. Sakaï / A. Delhalle / B. Guittet | S.E.R.T |
Champion du monde Endurance | 2012 | V. Philippe / A. Delhalle / Fa. Foret / Y. Kagayama / T. Tsuda | S.E.R.T |
Champion du monde Endurance | 2013 | V. Philippe / A. Delhalle / J. Da Costa / A. Cudlin | S.E.R.T |
Course / Catégorie | Année | Equipe | Voiture |
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World Rally Champions | 2001 | Richard Burns Robert Reid | Subaru Impreza |
World Rally Champions | 2003 | Petter Solberg Phil Mills | Subaru Impreza |
FIA-GT World Champions | 2004 | Matteo Bobbi Thomas Biagi | Ferrari 550 |
FIA-GT World Champions | 2005 | G. Gardel Larbre Compétition | Ferrari 550 - GT1 driver |
24H du Mans | 1996 | Martinolle Kelleners Eichmann | Porsche - GT2 class |
24H du Mans | 2003 | Kox Enge Davies | Ferrari 550 - LM GTS class |
24H du Mans | 2007 | Brabham Kox Rydell | Aston Martin DBR9 - LM GT1 class |
24H du Mans | 2007 | R. Narac Lietz Long | Porsche 911 GT3-RS - LM GT2 class |
Le Mans Endurance Series LMP1 | 2005 | Pescarolo Sport | Pesca C60 Judd |
Le Mans Endurance Series LMGT1 | 2005 | BMS Scuderia Italia | Ferrari 550 Maranello |
Le Mans Series LMP1 | 2006 | Pescarolo Sport | Pesca C60 Judd |
Le Mans Series LMGT1 | 2006 | Larbre Compétition | Aston Martin DBR9 |
Le Mans Series LMGT1 | 2007 | Team Oreca | Saleen S7-R |
Ferrari 550 Maranello | ||||||||
Marque | Ferrari | |||||||
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Années de production | 1996 - 2002 | |||||||
Production | 3 083 exemplaire(s) | |||||||
Classe | Voiture de sport Grand Tourisme | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Moteur(s) | V12 , 48 soupapes | |||||||
Cylindrée | 5 474 cm3 | |||||||
Puissance maximale | à 7 000 tr/min : 485 ch (357 kW ) | |||||||
Couple maximal | à 5 000 tr/min : 570 Nm | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Boîte de vitesses | manuelle à 6 rapports | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1 825 kg | |||||||
Vitesse maximale | 3121 km/h | |||||||
Accélération | 0 à 100 km/h en 4,4 s | |||||||
Consommation mixte | 22,9 L/100 km | |||||||
Émission de CO2 | 538 g/km | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé | |||||||
Freins | Freins Avant : Disques ventilés percés (330 mm) étriers 4 pistons Freins Arrières : Disques ventilés percés (310 mm) étriers 4 pistons | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4 550 mm | |||||||
Largeur | 1 935 mm | |||||||
Hauteur | 1 277 mm | |||||||
Empattement | 2 500 mm | |||||||
Voies AV/AR | 1 632 mm / 1 586 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
La Ferrari 550 Maranello remplace la 512M, dernière évolution de la Ferrari Testarossa . Dessinée par Pininfarina , elle marque le retour de Ferrari au moteur V12 avant pour sa GT, architecture abandonnée après la Ferrari Daytona . Les deux générations intermédiaires, la Berlinetta Boxer (365 GT4 BB et 512 BB), et la Testarossa (Testarossa, 512TR et 512M) étaient construites autour d'un 12 cylindres à plat en position centrale arrière.
Après plus de deux décennies de production Ferrari marquées par les performances d’un modèle à moteur central de la gamme classique, la marque a pris un virage important avec l’introduction de la 550 Maranello en 1996. Le nouveau modèle était équipé d’un moteur avant, comme son compagnon d’écurie, la 456 GT, et s’inspirait des innovations et des avancées technologiques développées sur ce modèle.
La 550 Maranello a fait ses débuts en juillet 1996, et ce lors d’un important rassemblement Ferrari sur le circuit allemand du Nurburgring. La nouvelle voiture était alors au centre de l’événement. Les pilotes de l’équipe de F1 de l’époque, Michael Schumacher et Eddie Irvine, étaient au volant de cette voiture, ainsi que de nombreux anciens pilotes de l’équipe Ferrari, parmi lesquels les anciens Champions du monde Niki Lauda et Jody Scheckter.
Sans surprise, les lignes de la carrosserie, créée par Pininfarina, rappelaient globalement celles du compagnon d’écurie 2+2 du nouveau modèle, la 456 GT. Toutefois, le véhicule constituait également un clin d’œil rétro à d’anciens modèles classiques, comme ses doubles fentes d’air d’évacuation situées sur les ailes avant, semblables à celles des modèles 250 GTO et 275 GTB des années 60. Le traitement des feux arrière ressemblait encore plus à celui du modèle légendaire 365 GTB/4 « Daytona » que sur la 456 GT.
Bien sûr, le nouveau modèle possédait sa propre identité. Les détails de conception lui donnaient une allure élégamment agressive. Même si les premiers éloges à son sujet furent quelque peu mitigés, s’attendant à quelque chose de plus radical sur le plan visuel, les sceptiques furent rapidement conquis par ses qualités dynamiques.
Ferrari 550 Maranello (1998)Les avancées technologiques de la période intermédiaire, notamment les systèmes de commandes électroniques de traction et de suspension, ont permis de rendre les véhicules à moteur avant aussi maniables que les modèles à moteur central. L’utilisation de phares haute densité de type homofocal était une caractéristique héritée du modèle F512M précédent. Elle a permis d’éviter le recours aux unités rétractables de la 456 GT, donnant ainsi au véhicule une ligne homogène, que les phares soient allumés ou non.
Les carrosseries étaient montées sur un châssis à empattement de 2 500 mm, soit 100 mm de moins que celui du modèle 2+2 de la 456 GT, avec une voie avant de 1 632 mm et une voie arrière de 1 586 mm. Le véhicule était construit selon la technique traditionnelle utilisant des tubes en acier et intégrant des structures secondaires, afin de supporter les composants mécaniques et de la carrosserie. Ce type de châssis portait la référence F 133 AB. Ce modèle était disponible en conduite à droite ou à gauche, avec direction assistée en série.
La carrosserie était fabriquée en alliage d’aluminium léger et soudée à la structure en acier à l’aide d’un matériau sandwich spécialement formulé, le Feran, qui permettait de souder les deux métaux différents. Les jupes avant et arrière, quant à elles, étaient des pièces moulées en matériau composite. La suspension était indépendante aux quatre roues, dotée de barres antiroulis avant et arrière et de plusieurs niveaux de réglage des amortisseurs commandés électroniquement par le conducteur, permettant d’opter pour un mode de conduite « normale » ou « sportive », associée à un système de contrôle anti-patinage (ASR).
En mode « normal », le cerveau est concentré sur la stabilité en fonction de l’état de la route, réduisant la puissance transmise aux roues via le système de gestion du moteur, ou faisant intervenir le système de freinage ABS pour optimiser la traction. En mode « sportif », le cerveau offre au pilote la possibilité de contrôler lui-même la situation, et ce par ses propres actions.
Les amortisseurs réglables étaient dotés d’un « cerveau » électronique qui contrôlait différentes fonctions, telles que l’angle du volant, la vitesse, la puissance du freinage ou l’accélération, afin d’optimiser les paramètres des conditions de conduite
Le véhicule était équipé d’une direction à assistance Servotronic sensible à la vitesse, dont le niveau d’assistance dépendait de la vitesse : plus important lors des manœuvres et de plus en plus réduit lors des accélérations. Les roues standard se caractérisaient par un design plus élégant que la version traditionnelle en alliage à cinq branches, dotées de rayons convexes élégants et de jantes 18″ à cinq fixations à boulons, d’une largeur de 8,5″ à l’avant et de 10,5″ à l’arrière. Des freins à disque ventilés équipaient les quatre roues, chaque disque disposant d’un étrier quatre pistons en alliage léger, sans oublier le système de freinage anti-dérapage ABS quatre canaux, intégré au système de contrôle ASR mentionné précédemment.
Le moteur était un dérivé de celui conçu pour la 456 T et présentait la même cylindrée totale, même si celle-ci avait été choisie pour figurer dans le nom du modèle (5,5 litres, d’où le 550), au détriment de la valeur de la cylindrée unitaire utilisée pour la 456 GT, portant la référence 133 A. Le moteur V12 65° avait une cylindrée réelle de 5 474 cc, avec des dimensions de course/alésage de 88 x 75 mm, quatre soupapes par cylindre, double arbre à cames et lubrification par carter sec. Le bloc, les têtes de cylindre, le carter et les pièces diverses étaient fabriquées en alliage léger et comportaient des chemises de cylindre en alliage traitées au Nicasil et des bielles en alliage de titane. Un système de gestion de moteur à injection/allumage combiné Bosch Motronic 5.2 était présent, ainsi qu’un système d’échappement en acier inoxydable à contre-pression variable, qui devait permettre d’atteindre une puissance en sortie de 485 ch à 7 000 tr/min, pour une boîte-pont de six vitesses + marche arrière.
L’habitacle était garni de cuir en série, doté de sièges équipés d’un système de réglage électronique et d’une plage arrière spacieuse. Le véhicule comprenait également des doubles airbags, la climatisation, des fenêtres et rétroviseurs latéraux électriques, ainsi qu’un système stéréo avec lecteur CD. Des sièges sport étaient proposés en option, ainsi qu’une gamme d’éléments, tels que les accessoires de personnalisation « Carrozzeria Scaglietti » introduits en 1997, et ce pour permettre aux clients d’apporter une touche personnelle à leur véhicule.
La 550 Maranello a été fabriquée entre 1996 et 2001, et chaque véhicule a été immatriculé dans l’ordre de fabrication à l’aide d’un numéro compris entre 99928 et 126807. En 1999.
Dans le numéro du 27 novembre 1996 du magazine britannique « Autocar » figuraient les résultats d’un test sur route : avec une durée de 4,6 secondes entre 0 et 60 mph, et de 10,1 secondes entre 0 et 100 mph, la vitesse maximale des voitures du fabricant atteindrait 199 mph. La voiture est également arrivée en tête du classement « Britain’s Best Driver’s Car 1998 » de ce même magazine, qui déclara en 1999 qu’elle « demeure la meilleure GT du marché ».
En 2004, le magazine britannique Evo , après un comparatif avec d'autres modèles de prestige, considère que la 550 Maranello est la meilleure voiture de sport de la décennie 1994-20042 .
En octobre 1998, alors que le modèle 550 Maranello s'illustre sur les circuits du monde entier dans les compétitions internationales, Ferrari décide d'envoyer sur l'anneau de Columbus, dans l'Ohio, une version légèrement modifiée de sa 550 Maranello de route, pour y signer trois records. Sur cet ovale de 12 km de long, la 550 Maranello va en effet couvrir 100 miles à la vitesse moyenne de 306.09 km/h, 100 km à 304 km/h de moyenne, et enfin rouler une heure durant à la vitesse moyenne de 296.11 km/h.
Pour fêter cette pluie de records, le constructeur italien a ensuite décidé de produire 33 exemplaires de la 550 Maranello dans une édition « World Speed Record », reprenant les spécifications exactes du modèle en question.
Nissan 370Z | ||||||||
Marque | Nissan | |||||||
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Années de production | 2009 - Phase 1 : 2009 - 2013 Phase 2 : 2013 - 2017 Phase 3 : 2017 - | |||||||
Classe | Sportive | |||||||
Usine(s) d’assemblage | Tochigi , Kantō , Japon | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Énergie | Essence | |||||||
Moteur(s) | V6 3.7 L | |||||||
Cylindrée | 3696 cm3 | |||||||
Puissance maximale | 332ch(328 en Euro V) 350 (version Nismo) ch | |||||||
Couple maximal | 370 Nm | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Boîte de vitesses | Manuelle 6 rapports Automatique 7 rapports | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Vitesse maximale | 250 km/h | |||||||
Accélération | 0 à 100 km/h en 5.3 s | |||||||
Consommation mixte | 10.6 L/100 km | |||||||
Émission de CO2 | 248 g/km | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé, 2 places Cabriolet, 2 places | |||||||
Coefficient de traînée | 0.29 | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4 247 mm | |||||||
Largeur | 1 849 mm | |||||||
Hauteur | 1 318 mm | |||||||
Empattement | 2 550 mm | |||||||
Volume du coffre | 235 dm3 | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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La Nissan 370Z est une automobile , remplaçante de la Nissan 350Z (connue sous son nom d'origine Nissan Fairlady Z au Japon depuis son début). Elle était présentée au salon de Los Angeles en novembre 2008 et elle est commercialisée début 2009 aux États-Unis , depuis le printemps 2009 en Europe .
Ses principales concurrentes sont les BMW Z4 et Porsche Cayman .
En 2013 , la 370Z est restylée. En 2017 , elle est encore remodelée en attendant sa remplaçante : ses poignées de porte se noircissent, un diffuseur noir apparaît à l'arrière, les feux arrière s'assombrissent et il y a des nouvelles jantes alliages de 19 pouces 1 .
NISSAN 370Z
MOTEUR Version : VQ37VHR Type : 6 cylindres en V à 60°, 24 soupapes Position : longitudinale avant Alimentation : Gestion électronique Nissan EGI ECCS Cylindrée : 3 696 cm³ Alésage x course (mm) : 95,5 x 86 Puissance maxi (ch à tr/min) : 331 à 7 500 Puissance spécifique (ch/l) : 89,5 Couple maxi (Nm à tr/min) : 366 à 5 200 Couple spécifique (Nm/l) : 99,1
TRANSMISSIOn Arrière Boîte de vitesses : manuelle 6 vitesses ou automatique 7 vitesses
POIDS Données constructeur : 1 500 kg Rapport poids /puissance : 4,5 kg/ch
ROUES Freins AV / AR (ø mm) : Disques ventilés (355/350) Pneus AV - AR : 225/50 R18 - 245/45 R18 Yokohama ADVAN Sport
ROUES Option 19" Pneus AV - AR : 245/40 R19 - 275/35 R19 Bridgestone RE050A
PERFORMANCES (données constructeur) Vitesse maxi (km/h) : 250 400 m DA : 14 1 000 m DA : 25"6 0 à 100 km/h : 5"3 0 à 200 km/h : 20"8
CONSOMMATION (donnée constructeur) Moyenne (l/100 km ) : 10,5
370Z | 370Z | VQ37VHR |
La Nissan 370Z, comme son nom l'indique, est équipée d'un moteur de 3,7 litres de cylindrée qui développe 331 ch. Sa vitesse maximum est limitée électroniquement à 250 km/h . Le nouveau bloc VQ37VHR (moteur 6 cylindres en V, 3,7 l, distribution variable VVEL , haute réponse) remplace ici le 3,5 l de la Nissan 350Z . Elle est la 6e génération de Nissan Z. Elle est disponible en boîte manuelle 6 rapports avec un nouveau système automatique le Synchro Rev Control , ou en boîte automatique à 7 rapports avec palettes au volant.
Selon les premiers essayeurs du magazine EVO , la voiture semble plus précise et plus incisive que le modèle précédent, tout en conservent le léger creux à bas régime du moteur. La voiture gagne en tenue de route, et en performances grâce aux 19 chevaux supplémentaires.
En comparaison avec la Nissan 350Z , la Nissan 370Z a vu son empattement raccourci de 100 mm à 2 550 mm et sa longueur totale diminuée de 69 mm à 4 250 mm . Des dimensions extérieures réduites et l'emploi de matériaux légers contribuent à la réduction de poids de 36 kg .
La rigidité de la caisse et des suspensions a aussi été renforcée, les 2 barres anti-rapprochement AV et AR ont été modifiées. Le travail réalisé sur le châssis et les suspensions se traduit par une nette amélioration de la tenue de route, un meilleur guidage du train avant, et une direction plus précise. Le gain de poids (suspendu et non suspendu) contribue à un meilleur travail des amortisseurs, favorisant aussi la tenue de route et le confort.
Le Cx de 0.29 est identique à celui de la Nissan 350Z .
Dodge Viper | |
Dodge Viper GTS (2013). | |
Marque | Dodge puis SRT |
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Années de production | 1re génération : 1992 - 2002 2e génération : 2003 - 2010 3e génération : 2013 - 2017 |
Classe | Muscle Car / Supercar |
Usine(s) d’assemblage | Detroit , Michigan , The Snake Pit |
Moteur et transmission | |
Énergie | Essence |
Moteur(s) | 8.0l - 8.4l V10 à 90° |
Position du moteur | Avant longitudinal |
Cylindrée | De 7 998 à 8 357 cm3 |
Puissance maximale | de 394 à 650 ch (de 290 à 478 kW ) |
Couple maximal | De 650 à 800 Nm |
Transmission | Propulsion |
Boîte de vitesses | 6 vitesses manuelles |
Poids et performances | |
Poids à vide | De 1 149 à 1 570 kg |
Vitesse maximale | De 275 à 332 km/h |
Accélération | 0 à 100 km/h en 4.7 à 3.3 s |
Châssis - Carrosserie | |
Carrosserie(s) | Coupé ou cabriolet |
Coefficient de traînée | environ 0,400 |
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La Dodge Viper est une voiture de sport, la plus puissante conçue par le constructeur automobile Dodge et par SRT (filiale sportive de Chrysler ) entre 2012 et 2014.
La Dodge Viper a été créée à l'initiative de Bob Lutz. , au moment où le groupe Chrysler a besoin d'image et un véhicule comme celle qui deviendra la Viper peut porter la marque. Pour apporter une caution historique et légitimer la Viper, le groupe fera appel à Carroll Shelby pour l'adouber aux yeux du public1 .
La première Viper (conçue avec l'aide de Lamborghini pour la partie mécanique) est commercialisée sous la marque Dodge et devient rapidement une voiture de sport de référence sur le marché américain. Le modèle est notamment facile à reconnaître grâce son look unique et agressif et à son moteur hors-normes. C'est tout de suite un succès commercial et une voiture symbole pour la marque Dodge qui se fait ainsi connaître dans le monde entier.
Après des années et plusieurs modèles différents (Dodge Viper RT/10, GTS, GTS-R, ACR, SRT-10, SRT-10 Coupé), la Dodge Viper reste une référence sur le marché des voitures « musclées » (« muscle cars ») en Amérique du Nord .
Le moteur est issu du nouveau bloc V10 destiné à la gamme de pick-up Ram , même si le bloc de la Viper est en aluminium, là où les blocs de pick-up sont en fonte. La dernière version de ce moteur est un V10 développant 600 ch . Dodge en a pourvu son Ram, un modèle de pick-up très vendu aux États-Unis, dans sa version SRT-10 (510 ch ).
Sa boîte de vitesses permet d'atteindre en première vitesse la vitesse légale sur les autoroutes américaines , qui est en général de 55 mph (88 km/h ).
Mais la Dodge Viper créée et développée par l'ingénieur Neil Heinneman s'est surtout illustrée sur tous les circuits du Monde où elle a remporté de multiples succès, notamment les fameuses 24 Heures de Daytona en Floride . Le premier à l'avoir fait courir est un français, Michel Arnaud, lequel en engagea deux exemplaires lors de l'édition 1994 des 24 Heures du Mans , confiées à des pilotes expérimentés et de renom (René Arnoux - Justin Bell - Philippe Gache - Bertand Balas - François Migault ). Les deux voitures américaines furent classées terminant deuxième et troisième de leur catégorie GT1. Cet exploit donna alors des idées à la maison-mère à Détroit , État du Michigan qui décida de s'investir pour développer une version compétition. Par la suite, la prestigieuse écurie Oreca les engagea en compétition et elle obtint de nombreux succès.
Le 1er juillet 2010 sort la dernière Dodge Viper à être produite à l'usine de Conner Avenue (surnommée le « Snake Pit », « fosse du serpent »), après 19 ans d'histoire2 . Dodge, qui appartient désormais totalement groupe Fiat (Fiat a acheté 41,5 % de Chrysler en janvier 2014) a prévu un nouveau modèle de la Viper3 qui serait plus luxueuse et moins « radicale ».
À la suite du rachat de Chrysler par l'italien Fiat (désormais actionnaire majoritaire), le changement de direction a amené à ne plus faire fabriquer la Viper par Dodge mais par SRT pour les années modèles 2012 à 2014. Pour l'année modèle 2015, la Viper retourne dans le catalogue Dodge.
Dodge Viper 1.1 (RT/10) | ||||||||
Marque | Dodge | |||||||
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Années de production | 1992 - 1995 | |||||||
Classe | Roadster | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Boîte de vitesses | Manuelle à 6 vitesses | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1490 kg | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4,45 mm | |||||||
Largeur | 1,92 mm | |||||||
Hauteur | 1,12 mm | |||||||
Empattement | 2,44 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
Dodge Viper 1.2 (SR/RT10/GTS) | ||||||||
Chrysler Viper GTS | ||||||||
Appelé aussi | Chrysler Viper | |||||||
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Marque | Dodge /Chrysler | |||||||
Années de production | 1996 - 2002 | |||||||
Classe | Roadster | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Boîte de vitesses | Manuelle à 6 vitesses | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé Roadster | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4,45 4,48 4,49 mm | |||||||
Largeur | 1,92 mm | |||||||
Hauteur | 1,12 1,19 mm | |||||||
Empattement | 2,44 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
Dodge Viper II (ZB/SRT-10) | ||||||||
Appelé aussi | Dodge SRT-10 | |||||||
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Marque | Dodge | |||||||
Années de production | 2003 - 2008 | |||||||
Classe | Roadster | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Boîte de vitesses | Manuelle à 6 vitesses | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1530 kg | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé Roadster | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4,46 mm | |||||||
Largeur | 1,92 mm | |||||||
Hauteur | 1,21 1,23 mm | |||||||
Empattement | 2,51 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
Dodge Viper II (ZB/SRT-10) | ||||||||
Marque | Dodge | |||||||
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Années de production | 2008 - 2010 | |||||||
Classe | Roadster | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Boîte de vitesses | Manuelle à 6 vitesses | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1540 à 1570 kg | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé Roadster | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4,46 mm | |||||||
Largeur | 1,92 mm | |||||||
Hauteur | 1,21 1,23 mm | |||||||
Empattement | 2,51 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
Dodge Viper IV (VX) | ||||||||
Appelé aussi | SRT Viper (2013-2014) | |||||||
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Marque | Dodge /SRT | |||||||
Années de production | 2013 - 2017 | |||||||
Classe | Coupé | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Moteur(s) | Moteur V10 8.4 640 ch | |||||||
Cylindrée | 8 930 cm3 | |||||||
Puissance maximale | 640 ch | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Boîte de vitesses | Manuelle à 6 vitesses | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 1 521 à 1 560 kg | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | 2 portes | |||||||
Dimensions | ||||||||
Longueur | 4,46 mm | |||||||
Largeur | 1,94 mm | |||||||
Hauteur | 1,25 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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modifier |
Dodge a signé la fin de sa production en 2017, à cause de la concurrence trop rude. (par exemple, la Chevrolet Corvette C7 )
La Viper est donc produite jusqu'en août 2017 pour satisfaire les demandes de ses derniers acquéreurs.4
Dodge Viper ACR | |
Marque | Dodge |
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Années de production | 2015 - 2017 |
Classe | Coupé sportif |
Moteur et transmission | |
Moteur(s) | V10 8.4 L |
Puissance maximale | 654 ch |
Couple maximal | 813 Nm |
Poids et performances | |
Vitesse maximale | 285 km/h |
modifier |
La nouvelle Dodge Viper sera déclinée en version sportive ACR comme la version de 1999 5 .
Automotive|McLaren]])
Données pour la Viper SRT-10 venom 700R (2008) :
Moteur :
Transmission :
Poids :
Roues :
Performances :