Marquis de Sade 1772 Erotisme Prostitution Du Barry Voltaire Ferney Diderot

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Rarissime ouvrage Mémoires secrets pour servir à l’histoire de la république des lettres en France publié à Londres en 1784 pour éviter la censure royale.

Ce volume retrace les événements littéraires, politiques et journalistiques pour l’année 1771 et 1772. Cet ouvrage publié à l’étranger pour éviter la censure donne de rares et précieuses informations sur la vie à la cour du roi et la vie intellectuelle de la fin du 18ème siècle.

Passionnants et nombreux textes au ton critique et très léger souvent emprunt de libertinage. Extraordinaire et célèbre texte sur le marquis de Sade à Marseille suite à une soirée de libertinage avec des pastilles à la cantharide , puissant aphrodisiaque, lors d’une « soirée de Cythère » Beau document et nombreux textes sur la prostitution et Curiosa. Rares textes sur Diderot et l’encyclopédie. Étonnant document sur Voltaire à Ferney.

• Madame du Barry

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• Marquis de Sade

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• Diderot en Russie

• Ferney

• Curiosa

• Nombreux textes passionnants sur la vie à la cour.

Superbe volume complet, forte mouillure sur les trois premières pages mais bon état intérieur, très belle reliure voir photo 320 pages

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source Wikipedia

Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France depuis 1762 jusqu'à nos jours

Les Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France depuis 1762 jusqu'à nos jours est une chronique anonyme des événements survenus entre 1762 et 1787.

Cette chronique est l’une des sources les plus abondantes et les plus réputées pour l’histoire de la deuxième moitié du xviiie siècle. On y trouve beaucoup d'anecdotes curieuses.

« Au centre des débats les plus brûlants durant un quart de siècle, qu'il s'agisse de la lutte contre les Jésuites, de l'opposition parlementaire, de procès retentissants comme celui de l'Affaire du Collier de la Reine, ou de l'émergence de nouvelles esthétiques : celle du drame bourgeois, de l'Opéra Gluckiste, du Théâtre de Shakespeare, ils rendent compte, presque au jour le jour, de manière engagée ou distanciée, indignée ou sarcastique, des mouvements éphémères ou profonds d'une opinion publique en train de se constituer

Il semblerait que Bachaumont n’ait été qu’un prête-nom. C’est vraisemblablement son secrétaire Pidansat de Mairobert qui a rédigé les premiers volumes publiés à partir de 1777. Puis à sa mort, deux ans plus tard, Mouffle d’Angerville aurait pris le relais. Le succès est énorme, à tel point que ce dernier en profite pour ajouter à la fin de chaque livre des additions concernant les années précédentes, utilisant les notes laissées par ses prédécesseurs.

En 1830, Ravenel a donné une édition critique et raisonnée pour les 4 premiers volumes. Paul Lacroix en a donné un abrégé en 1858. Une Table alphabétique des auteurs et personnages cités dans les Mémoires secrets parut à Bruxelles en 1866. C'est un outil indispensable pour se repérer dans l'ensemble de l'œuvre. Une nouvelle édition critique est en cours[1].

Mémoires secrets (dits de Bachaumont) pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France, depuis 1762 jusqu'à nos jours ou Journal d'un observateur Contenant les analyses des pièces de théâtre qui ont paru durant cet intervalle ; les relations des assemblées littéraires ; les notices des livres nouveaux, clandestins, prohibés ; les pièces fugitives, rares ou manuscrites, en prose ou en vers ; les vaudevilles sur la Cour ; les anecdotes et bons mots ; les éloges des savants, des artistes, des hommes de lettres morts, etc., etc., etc. Volumes I-V. Sous la direction de Christophe Cave et Suzanne Cornand, Éditions Honoré Champion, 2009. 3 vol., 688, 728 et 552 p., (ISBN 978-2-7453-1760-5)[2]

Colloques

« Le règne de la critique : l’imaginaire culturel des Mémoires secrets[3] » est le deuxième colloque international qui a été dédié aux Mémoires secrets.

↑ Ces volumes, les premiers de la série, regroupent les 5 tomes initiaux des Mémoires secrets. Tome I : 1er janvier 1762–31 décembre 1763 (par Jean Sgard et Pierre Assayag). Tome II : 1er janvier 1764 – 28 février 1766 (par Christophe Cave). Tome III : 1er mars 1766 – 31 mars 1768 (par Christophe Cave). Tome IV : 1er avril 1768- 31 octobre 1769 (par Yves Citton). Tome V : 1er novembre 1769 - 30 septembre 1771(par Suzanne Cornand)

↑ Voir l'art. en ligne. Actes à paraître Voir à ce sujet la rubrique Équipe, page de Christophe Cave, « Publications », Le « règne de la critique » : l’imaginaire culturel des Mémoires secrets.

Notice de Tawfik Mekki Berrada dans Dictionnaire des Journaux, 1600-1789, dir. J. Sgard, 1991.

Sébastian G. Longchamp, Jean-Louis Wagnière, Jacques Joseph Marie Decroix, Adrien Jean Quentin Beuchot, Mémoires sur Voltaire: et sur ses ouvrages, éd. Aimé André, 1826, p. 187 Lire en ligne

Bernadette Fort, Les Salons des « Mémoires secrets », 1767-1787, Paris, ENSBA, 1999, p. 381 (ISBN 2840560666).

Christophe Cave, « Libertinage et Mémoires secrets », in Du genre libertin au xviiie siècle (actes du colloque international « La littérature libertine au xviiie siècle: existe-t-il un genre libertin ? définition, typologie, limites chronologiques, corpus », sous la direction de Jean-François Perrin, Philip Stewart, Desjonquères, 2004, p. 193-216

en anglais

(en) Jeremy D. Popkin, Bernadette Fort, The Mémoires Secrets and the Culture of Publicity in Eighteenth-century France, Voltaire Foundation, 1998, 188 p. (ISBN 0729405710)

Liens externes

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Mémoires secrets pour servir à l'histoire de la République des Lettres en France, depuis MDCCLXII par L. Petit de Bachaumont, M.-F. Pidansat de Mairobert et Moufle d'Angerville Tome 1 à 36 disponible sur Gallica

L'affaire de Marseille [ modifier  |  modifier le code ]

En 1769, Sade est en Provence. Bals et comédies se succèdent à Lacoste. En juin, naît à Paris son deuxième fils, Donatien-Claude-Armand, chevalier de Sade25 . Fin septembre, il voyage un mois en Hollande : Bruxelles, Rotterdam, La Haye, Amsterdam, peut-être pour y vendre un texte érotiqueN 12 . L'année suivante, il part pour l’armée pour y prendre ses fonctions de capitaine-commandant au régiment de Bourgogne cavalerie , mais l’officier supérieur qui le reçoit refuse de lui laisser prendre son commandement.

En 1771, il vend sa charge de capitaine commandant. Sa carrière militaire est terminée. Naissance de sa fille Madeleine Laure. Il passe la première semaine de septembre à la prison parisienne de For-l'Évêque  pour dettes. Début novembre, il est à Lacoste avec sa femme, ses trois enfants, et sa jeune belle-sœur de dix-neuf ans, Anne-Prospère de Launay, chanoinesse séculièreN 13  chez les bénédictines, avec laquelle il va avoir une liaison violente et passionnée.

Le château de Mazan Anne-Prospère de Launay, chanoinesse de 19 ans, belle-sœur de Sade. « Je jure à M. le marquis de Sade, mon amant, de n’être jamais qu’à lui… »

Sade a trente ans. Il mange la dot de sa femme et ses revenusN 14 . Il fait réparer son château de Lacoste  (bien dégradé) de quarante-deux pièces, donne libre cours à sa passion pour la comédie : construction d’un théâtre à Mazan , aménagement de celui de Lacoste, embauche de comédiens. Il envoie des invitations à la noblesse des environs à des fêtes et à des représentations théâtrales dont il est le régisseur et le maître de scène. Nous avons le programme des vingt-cinq soirées théâtrales qui étaient prévues du 3 mai au 22 octobre 1772 à Lacoste et à Mazan et qui seront interrompues le 27 juin par l’affaire de Marseille : des pièces de Voltaire, Destouches , Chamfort , Gresset , Regnard , Sedaine , Le Père de famille  de Diderot . Il remporte un franc succès et toutes et tous le trouvent « fort séduisant, d’une élégance extrême, une jolie voix, des talents, beaucoup de philosophie dans l’esprit » . L’argent fait défaut. Il s’endette pour payer ses « folles dépenses »  (Mme de Montreuil). « Si sa passion dure, elle l’aura bientôt ruinée » (Abbé de Sade).

Portrait imaginaire du xix e siècle, par H. Biberstein : Sade soumis aux quatre vents des suggestions diaboliques.

Tout aurait pu tomber dans l’oubli si le scandale n’avait à nouveau éclaté en juin 1772. L’affaire de Marseille succède à celle d’Arcueil. Il ne s’agit plus cette fois d’une fille mais de cinq. Le 25 juin 1772 à l’hôtel des Treize Cantons, le marquis a proposé à ses partenaires sexuelles des pastilles à la cantharide  au cours d'une « soirée de Cythère  » chez l'hôtesse Mariette Borely26 . Deux filles se croient empoisonnées, les autres sont malades. Comme en 1768, la rumeur enfle.

Le récit des Mémoires secrets  de Bachaumont  daté du 25 juillet 1772 en témoigneN 15 . L’aphrodisiaque est présenté dans l’opinion comme un poison. La participation active du valet justifie l’accusation de sodomie, punie alors du bûcher. La condamnation par contumace du parlement de Provence  est cette fois la peine de mort pour empoisonnement et sodomie à l'encontre du marquis et de son valet. Le 12 septembre 1772 se déroule à Aix  les exécutions en simulacre  des deux hommes avec des mannequins grandeur nature (tête de l'effigie de Sade tranchée et celle de son valet pendue) qui sont ensuite jetés au feu27 .

Sade s’est enfui en Italie avec sa jeune belle-sœur Anne-Prospère de Launay qui lui signe de son sang une lettre passionnée : « Je jure à M. le marquis de Sade, mon amant, de n'être jamais qu'à lui28 . »  Les amants sont à Venise fin juillet, visitent quelques autres villes d’Italie, puis la chanoinesse rentre brusquement en France à la suite d’une infidélité du marquis29 . Ce dernier a fixé sa résidence en Savoie , mais le roi de Sardaigne  le fait arrêter le 8 décembre 1772 à Chambéry à la demande de sa famille et incarcérer au fort de Miolans .

Mme de Sade achète des gardiens qui le font évader le 30 avril 1773. Réfugié clandestinement dans son château — officiellement il est à l’étranger — le marquis échappe aux recherches, prenant le large quand il y a des alertes. Le 16 décembre 1773, un ordre du Roi enjoint au lieutenant général de police de s’assurer de sa personne. Dans la nuit du 6 janvier 1774, un exempt suivi de quatre archers et d’une troupe de cavaliers de la maréchaussée envahit le château. Sans résultat. En mars, Sade prend la route de l’Italie, déguisé en curé (« M. le curé a très bien fait son voyage à ce que dit le voiturier, excepté que la corde du bac où il était ayant cassé sur la Durance  que l’on passe pour aller s’embarquer à Marseille, les passagers voulaient se confesser » , écrit Madame de Sade le 19 mars. L’idée de devenir confesseur a dû intéresser Sade, malgré son manque d’entrain, commente Jean-Jacques Pauvert30 ).

L'affaire des « petites filles » [ modifier  |  modifier le code ] Le château familial de Lacoste  bâti sur l’un des contreforts du Luberon , pillé à la Révolution, puis vendu.

La marquise et sa mère travaillent à obtenir la cassation de l’arrêt d’Aix, mais l’affaire de Marseille l’a cette fois coupé de son milieu. L'affaire des « petites filles31  » va le couper de sa famille.

« Nous sommes décidés, par mille raisons, à voir très peu de monde cet hiver… » écrit le marquis en novembre 1774N 16 . Il a recruté à Lyon  et à Vienne  comme domestiques cinq « très jeunes » filles et un jeune secrétaire ainsi que « trois autres filles d’âge et d’état à ne point être redemandées par leurs parents » auxquelles s’ajoute l’ancienne domesticité. Mais bientôt les parents déposent une plainte « pour enlèvement fait à leur insu et par séduction ». Une procédure criminelle est ouverte à Lyon. Le scandale est cette fois étouffé par la famille (toutes les pièces de la procédure ont disparu), mais l’affaire des petites filles nous est connue par les lettres conservées par le notaire Gaufridy (voir Correspondance), publiées en 1929 par Paul Bourdin.

« Les lettres du fonds Gaufridy ne disent pas tout, écrit ce dernier32 , mais elles montrent nettement ce que la prudence de la famille et les ordres du roi ont dérobé à la légende du marquis. Ce n’est pas dans les affaires trop célèbres de la Keller et de Marseille, mais dans les égarements domestiques de M. de Sade qu’il faut chercher la cause d’un emprisonnement qui va durer près de quatorze années et qui commence au moment même où l’on poursuit l’absolution judiciaire des anciens scandales. On verra par la suite avec quel soin madame de Montreuil s’est préoccupée de faire disparaître les traces de ces orgies. L’affaire est grave car le marquis a de nouveau joué du canif. Une des enfants, la plus endommagée, est conduite en secret à Saumane chez l’abbé de Sade qui se montre très embarrassé de sa garde et, sur les propos de la petite victime, accuse nettement son neveu. Une autre fille, Marie Tussin, du hameau de Villeneuve-de-Marc, a été placée dans un couvent de Caderousse, d’où elle se sauvera quelques mois plus tard. Le marquis prépare une réfutation en règle de ce qu’a dit l’enfant confiée à l’abbé, mais elle n’est pas la seule à avoir parlé. Les fillettes d’ailleurs n’accusent point la marquise et parlent au contraire d’elle « comme étant la première victime d’une fureur qu’on ne peut regarder que comme folie ». Leurs propos sont d’autant plus dangereux qu’elles portent, sur leurs corps et sur leurs bras, les preuves de leurs dires. Les priapées de la Coste ont peut-être inspiré les fantaisies littéraires des Cent vingt jours de Sodome, mais le canevas établi par le marquis passe de loin ces froides amplifications. « C’est un sabbat mené à bave-bouche avec le concours de l’office. Gothon33  y a probablement chevauché le balai sans entrer dans la danse, mais NanonN 17  y a pris une part dont elle va rester toute alourdie ; les petites ravaudeuses de la marquise y ont livré leur peau au jeu des boutonnières et le jeune secrétaire a dû y faire la partie de flûte. »

Le voyage d’Italie (juillet 1775- mai 1776)
  • Date de publication: 1784
  • Auteur: Marquis de Sade
  • Caractéristiques spéciales: Édition originale
  • Objet modifié: Non
  • Reliure: Cuir, Relié
  • Langue: Français
  • Époque: XVIIIème
  • Nom de publication: Marquis de Sade
  • Lieu de publication: Londres
  • Nom: Marquis de Sade
  • Sujet: Histoire

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