Ancienne Tetiere Tissu Siege Avion Seita Vente N°1 France+ Paquet Gauloise Neuf

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Vendeur: cathyminicatherine ✉️ (224) 100%, Lieu où se trouve: Audenge, FR, Lieu de livraison: FR, Numéro de l'objet: 256345338922 ANCIENNE TETIERE TISSU SIEGE AVION SEITA VENTE N°1 FRANCE+ PAQUET GAULOISE NEUF. UN DUO lié au tabac et a la publicite pour la SEITA a savoir 

une  ancienne et belle diaposable appele aussi TETIERE de dossier d'avion en tissu  coton  a fond blanc avec en embleme   l'emblme de la SEITA VENTES N° 1 EN FRANCE  representant l'image de la carte de France en jaune avec le reste de l'Europe dans un grand ecusson ovale de couleurs bleu marine et bleu ciel  dimensions 39 X 25 CM  la tetiere a une bande de tissu kraft  sur toute la largeur de l 'envers pour s accrocher sur le haut  de la bordure du dossier a hauteur de la tete  cette tetiere a un COLLECTOR publicite pour   SEITA   cette societe   a voyagé en avion sur des vols  commerciaux prives dans les années 1985/1995 sur la compagnie aerienne AIR CHARTER filiale de la compagnie AIR FRANCE pour  sa clientele ou pour son personnel  et ses vendeurs  marchands de tabac  peut etre pour recompenser les meilleurs vendeurs distributeurs de l époque afin de mieux faire connaitre ses marques de cigarettes et de tabac  HISTORIQUE .CI DESSOUS  Un ancien paquet de 20 cigarettes  GAULOISES blondes filtres neuf encore sous blister avec le celebre casques  romain entoure d'un cercle rouge  rouge  representant l'emblème de la guerre des GAULLES  casque ailés  paquet COLLECTOR il doit avoir  entre 30 et 40 ans neuf complet  INTROUVABLE A LA VENTE  PRIX DU DUO 99 euros compter 6 euros de frais de port en plus en  COLISSIMO avec la poste en France ; La  Société nationale d'exploitation industrielle des tabacs et allumettes , anciennement  Service d'exploitation industrielle des tabacs et allumettes , surtout connue sous son  acronyme   Seita , est une  entreprise   française  du secteur du  tabac .  Régie d'État  à sa création, elle disposait du  monopole  de la culture de tabac en France jusqu'en 1970, ainsi que de la fabrication et de la vente de tabac et d'allumettes jusqu'en 1976 2 . La SEITA produit les marques de  cigarettes  et de tabac  Gitanes ,  Gauloises ,  Royale , News,  Bastos , Fine 120, Django et Amsterdamer. Renommée  Altadis  en 1999 à la suite de sa fusion avec  Tabacalera , le groupe est devenu une filiale d'Imperial Tobacco en 2008, devenu depuis  Imperial Brands . Ancien siège de la SEITA à Paris.

Cette ancienne entreprise publique fut fondée en tant que service en 1926, sous la présidence de Raymond Poincaré  et sous le nom de Service d'exploitation industrielle des tabacs (SEIT), et rattachée à la Caisse autonome de gestion des bons de la défense nationale et d'amortissement de la dette publique . Elle reprend les attributions du monopole  des tabacs rétabli en 1810 par Napoléon Ier .

En 1935, le service absorbe le monopole des allumettes , affermé  alors à une régie  d'État nommée Compagnie générale des allumettes chimiques , et devient ainsi le SEITA3 . Celui-ci contrôle alors 22 manufactures des tabacs  réparties sur l'ensemble du territoire national et vend uniquement les marques Gauloises  et Gitanes .

Les réformes de 1959 et 1961 lui confèrent la qualité d'établissement public à caractère industriel et commercial  (EPIC).

En 1976, la suppression des barrières douanières au sein du marché commun entraîne la perte du monopole de fabrication et de distribution de tabac pour le SEITA. La déferlante des marques américaines va entraîner un changement dans la consommation des Français, les femmes et les jeunes ayant très vite une préférence marquée pour le tabac blond et les cigarettes avec filtres. Le SEITA ne s'étant pas préparé à ce changement, il va subir à partir de cette date une baisse régulière des parts de marché de ses marques, que ce soit pour les cigarettes (Gauloises, Gitanes et  Royale , lancée en 1956) ou pour les  scaferlati  (Caporal, Amsterdamer), segment qui comprend le tabac à pipe et le tabac à rouler.

Obligé de s'adapter, le SEITA tente de riposter en lançant deux marques de cigarettes blondes, Philtres et Maeva (mentholée), qui ne trouvèrent pas leur public et qui furent retirées de la vente moins de deux ans après leur sortie4 . Le PDG d'alors, Pierre Millet, décida alors de tout miser sur de nouvelles cigarettes brunes : les Gitanes internationales en 1976 et les Fine 120, cigarettes longues de 120 mm destinées à concurrencer la marque Time de RJ Reynolds , en 1977. Cependant, le succès des blondes ne se démentant pas, l'entreprise retente sa chance avec le lancement de Rich&Light en 1978, d'une marque de cigarettes « américaines », les News en 1979, et d'une blonde haut de gamme française, Champagne, mise au point par la « réunion des monopoles », alliance des fabricants européens et japonais pour contrer les marques anglo-saxonnes5 . Il se mit également à fabriquer pour le compte de British American Tobacco  les cigarettes Lucky Strike  destinées au marché français où les procédés de fabrication, la totalité des ingrédients sont différents par rapport aux autres produits de la SEITA, cette production se faisant sous la licence de British American Tobacco 6 . Après un procès des viticulteurs champenois et l'échec cuisant de la Rich&Light, seules les News furent conservées, malgré une part de marché très faible. Le réel succès du SEITA avec les cigarettes blondes vint en 1984, avec le lancement des Gauloises blondes.

L'usine abandonnée de la Seita à Périgueux.

Un schéma similaire s'est appliqué dans le domaine du tabac à rouler : les lancements de marques telles que Caperlino, Jean Bart, Bergerac, Saint-Claude confrérie et même Pall Mall , fabriqué sous licence, ne rencontrèrent pas le succès. Seules les marques existantes, Gauloises et Amsterdamer, eurent du succès lorsqu'elles furent lancées en tabac à rouler, respectivement en 1982 et 19847 .

Malgré toutes les tentatives mises en place pour tenter de garder le contrôle du marché, le déclin est inexorable. En 1994, moins d'une cigarette sur deux vendues en France est produite par le SEITA, et l'État refuse toute création d'une marque nouvelle8 . Toutefois, les autres fabricants n'ont pas investi le secteur de la distribution, et la filiale SEITA-Distribution commercialise la majeure partie du tabac écoulé par les buralistes. Seuls quelques distributeurs spécialisés dans les cigares ou le tabac à pipe sont également présents9 .

Cette perte de parts de marché va entraîner une profonde restructuration. En 1980, le service SEITA devient la société SEITA, une société nationale10 . En 1981, les manufactures de Nancy  et de Pantin  ferment leurs portes11 . Elles seront suivies par celles d'Orléans  en 1982, de Lyon  en 1987, de Marseille  en 1990, de Dijon  en 199312 , de Châteauroux  et de Périgueux  en 199813 . Celle de Pantin, alors désaffectée mais non abandonnée et qui sera détruite en 1992, aura servi pendant cette période de lieu de tournage pour des clips  et des films, comme La Lectrice , Delicatessen , ou Nikita 14 .

La privatisation et la fusion dans Altadis

Après une première tentative avortée en 1993, la SEITA est privatisée  en 1995. Vincent Bolloré , qui possédait déjà, au sein de sa société Coralma, les cigarettes Bastos , les papiers à cigarettes et les filtres JOB  et OCB , souhaitait se porter acquéreur du groupe15 . Cependant, trop endetté16 , il a dû se contenter d'une partie du capital de la Seita, aux côtés de la Société générale , du CCF  et de BiC 17 .

Sous l'impulsion de ses nouveaux actionnaires et pour devenir compétitive face aux géants du secteur Philip Morris  et British American Tobacco , la Seita prend le contrôle en 1995 du troisième fabricant polonais de cigarettes, ZPT Radom. Le 5 octobre 1999, elle fusionne  avec l'espagnol  Tabacalera , devenant le plus grand fabricant de tabac en Europe, sous le nom d'Altadis . Seules les activités de cigarettes et de cigares sont conservées. La fabrication d'allumettes est cédée avec l'assistance de la société de capital-risque Cluny Finance à un exploitant tunisien, Sofas. Les fermetures d'usines continuent, avec celles de Tonneins  en 2000, de Morlaix  en 200118 , de Dijon en 2004 et de Lille  en 2005, mettant un terme à la production des cigarettes brunes Gitanes et Gauloises en France (la production est transférée en Pologne)19 .

Le rachat par Imperial Tobacco

En 2008, Altadis est racheté par le groupe britannique Imperial Tobacco  (quatrième fabricant mondial) et devient une de ses filiales. Six mois plus tard, celui-ci annonce un plan social de grande ampleur, conduisant à la suppression de 2 440 emplois en Europe20 . En France, il se traduit par la fermeture d'une usine de papier à cigarettes à Metz  et d'une usine de cigares à Strasbourg 21 .

Restructuration   novembre 2016, la Seita annonce la fermeture de l'usine de   Riom   et du centre de recherche de   Fleury-les-Aubrais  ; 339 emplois sont concernés .

Organisation

Après avoir disparu des paquets au profit d'Altadis puis d'Imperial Tobacco, le nom Seita a refait son apparition en 2013. La filiale française du groupe possède six sites en France, contre une trentaine avant la privatisation13  : trois usines de fabrication de cigarettes, à Carquefou  (près de Nantes ), à Riom , et à Furiani  (près de Bastia ), une usine de traitement du tabac au Havre , et deux centres de recherche, à Fleury-les-Aubrais  et Bergerac .

Altadis-Distribution, successeur de la SEITA-distribution, continue la distribution de tabac chez les buralistes. Ses effectifs sont de 1 300 salariés en 201124 , répartis sur six sites principaux, dont certaines sont des anciennes manufactures reconverties en dépôts : Nancy , Le Mans , Colomiers , Lognes , Vitrolles  et Mions 25 .

Producteurs de tabac ]

La régie dispose jusqu'en 1970 de l'exclusivité de l'achat du tabac servant à la fabrication des cigares et cigarettes vendus en France. Elle s'approvisionne majoritairement auprès d'agriculteurs français, et doit se contenter d'un maximum de 20 % de feuilles de tabac importées. Le nombre d'hectares de tabac pouvant être cultivés était revu chaque année en fonction des besoins du SEITA, et les permis de cultiver étaient délivrés par les préfets.

On dénombrait 30 289 planteurs de tabac en 1871 dans 20 départements, 41 000 en 1925 dans 30 départements, 107 000 en 1954. Leur nombre baisse ensuite : de 94 995 en 1958, il passe à 41 760 en 1969 dans 47 départements. Après la fin du monopole de l’achat des tabacs en France de 1970, le SEITA passe des contrats avec des planteurs (28 000 contrats en 1979).

En 2010, la France produit environ 18 000 tonnes de tabac par an et est le cinquième producteur européen, avec 97 % de tabac blond et 3 % de brun exporté dans 20 pays. Cette production est répartie sur 7 000  hectares. Il y a 2 076 planteurs et 20 000 travailleurs saisonniers (six mois par an) dans 60 départements, au sein de 7 coopératives agricoles 26 . Une usine de première transformation du tabac se situe à Sarlat-la-Canéda . Elle appartient à France Tabac, société représentant l'union des coopératives, qui possède également à Bergerac  une structure de recherche, d'expérimentation et de formation des hommes, l'Association nationale interprofessionnelle et technique du tabac (ANITTA).

En 2017, la production française s'établit à 8 172 tonnes et la France est le septième producteur de l'Union européenne27 .

  • Condition: Neuf
  • Pays de fabrication: France
  • Impression: Couleur
  • Thème: tabac publicite cigarettes

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