Médaille Jacques Vaucanson inventeur canard automates Métier à tisser automatons

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___________________ tir50-257 Médaille en bronze, France . Frappée vers 1960 . Usures d'usage . Graveur : A déterminer . Dimensions : 69 mm . Poids : 140 g . Métal : bronze . Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): aucun . Envoi rapide et soigné . _____________________ Jacques Vaucanson, ou Jacques de Vaucanson1, né le 24 février 1709 à Grenoble et mort le 21 novembre 1782 à Paris, est un inventeur et mécanicien français. Il invente plusieurs automates dont le flûteur de Vaucanson et le canard de Vaucanson. Biographie Jacques Vaucanson est le dixième enfant d’une famille de gantiers de Grenoble. Ses dispositions pour la mécanique se révèlent de très bonne heure. Sa mère le conduit tous les dimanches chez certaines vieilles dames, qui ont l’habitude de se débarrasser de lui en le reléguant dans une chambre non habitée, dont le principal meuble est une grande et antique horloge. Frappé du mouvement égal et constant du pendule, l’enfant veut en pénétrer la cause et y parvient, au point d’exécuter, à l’aide de son couteau et de quelques morceaux de bois, une horloge qui fonctionne avec assez de régularité [réf. souhaitée]. Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier. Il est élève au collège de Juilly de 1717 à 1722. En 1725, influencé par sa mère, il embrasse le noviciat auprès des Minimes de Lyon et souhaite suivre sa vocation religieuse (il prononce ses vœux en 1727)2. L’Église étant alors distante des sciences et techniques, il préfère finalement renoncer. Il suit alors à Paris, de 1728 à 1731, des études de mécanique, physique, anatomie et musique. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. Il ne réussit pas à mener à bien ses constructions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Il fait forte impression au public, qui peut le voir à la foire de Saint-Germain, puis à l’hôtel de Longueville3. Une grande partie du mécanisme de l’automate était placée dans un piédestal ; celui-ci, entraîné par un poids, consistait en un cylindre de bois couvert de picots, qui, par l’intermédiaire de quinze leviers et de chaînes et de câbles, pouvait modifier le débit d’air, la forme des lèvres, et les mouvements des doigts. Le flux était produit par neuf soufflets de puissances différentes, une sorte de langue artificielle ouvrait ou fermait le passage4. La flûte n’est pour l’automate qu’un instrument remplaçable par un autre, et ce sont les mouvements des lèvres, doigts, et le contrôle du souffle qui lui permettent de jouer de la musique, comme un humain5. Le flûteur automate a disparu au début du XIXe siècle. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser : l’instrument nécessite des modulations d’un souffle puissant, des doigtés complexes (les trois trous de la flûte doivent être à moitié découverts pour jouer la bonne note), et des mouvements précis de la langue6. Jacques Vaucanson en dit qu’il joue mieux du galoubet que des êtres humains : « L’Automate surpasse en cela tous nos joueurs de tambourin, qui ne peuvent remuer la langue avec assez de légèreté, pour faire une mesure entière de doubles croches toutes articulées. Ils en coulent la moitié & mon Tambourin joue un air entier avec des coups de langue à chaque note ». Ce joueur de tambourin, qui a lui aussi disparu au début du XIXe siècle, est présenté en même temps que son troisième ouvrage. La chaîne Vaucanson. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage7. Le mécanisme, placé dans l’imposant piédestal, était laissé visible par tous, dans le but de montrer la complexité du travail accompli. La digestion de l’animal en était le principal exploit : il semble rendre ce qu’il a avalé après une véritable digestion. Ce point est soupçonné d’être une exagération de la part de Vaucanson, et Jean-Eugène Robert-Houdin, entre autres, le dénonce comme une mystification. Il reste possible que cette mystification n’ait eu lieu que pour les répliques du canard de Vaucanson, réalisées plus tard8. Quel que soit le fonctionnement de cette digestion, le reste du mécanisme reste très complexe, les ailes étant par exemple reproduites os par os. Des témoignages attestent que les mouvements du canard étaient d’un « réalisme quasi naturaliste »9. Métier à tisser les façonnés de Vaucanson, 1748 (musée des arts et métiers). Cet automate est acheté en 1840 par Georges Tiets, mécanicien10, mais il brûle en 1880 lors de l’incendie du musée de Nijni Novgorod. Il n’en reste que quelques photographies du milieu du XIXe siècle. Il tente de construire un nouvel automate, « dans l’intérieur duquel devait s’opérer tout le mécanisme de la circulation du sang »11, mais celui-ci ne sera jamais fini. Il semble qu’un des écueils ait En 1746, Jacques Vaucanson entre à l’Académie des sciences française. De cette date jusqu'à sa mort, il réside dans l'hôtel de Mortagne, situé aux numéros 51-53, rue de Charonne, à Paris, et y construit une grande partie de ses automates et de nombreux métiers à tisser la soie. Il meurt à Paris le 21 novembre 1782, léguant l'ensemble de ses machines au roi Louis XVI, qui achète alors l'hôtel de Mortagne en 1783 pour y établir le Cabinet des mécaniques du roi, ancêtre du Conservatoire national des arts et métiers. Jacques Vaucanson est inhumé à Paris, dans la chapelle dite « des âmes du Purgatoire » en l'église Sainte-Marguerite, qui était sa paroisse15. Sa sépulture n'est plus discernable aujourd'hui. Sa fille unique, Victoire Angélique de Vaucanson, épouse François de Montrognon de Salvert (1743-1816), d'où une descendance toujours représentée. Œuvre Automates de Vaucanson. Affiche pour la présentation des automates ci-dessus. Il est donc connu pour sa production d’automates, dont :     Le flûteur automate, pouvant jouer plusieurs morceaux en soufflant naturellement dans sa flute ;     Le joueur de tambourin ;     Un canard qui donnait l’illusion de manger, digérer et éliminer la nourriture et l'eau qu'il ingérait, le canard digérateur10. Les deux automates musiciens ont disparu au début du XIXe siècle, le canard est détruit lors de l’incendie du musée de Nijni Novgorod. Il est crédité de l’invention du premier tour métallique, le tour à charioter, en 175113. Il automatisa ou améliora les machines des manufactures de soie. Il créa une chaîne qui porte son nom ainsi qu’une machine pour en fabriquer les mailles toujours égales10. Son but était de faciliter l’activité humaine, ce qui le conduisit à siéger à l’Académie des sciences et à participer à l'Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Hommages     Il existe dans sa ville natale de Grenoble une place ainsi qu'un lycée Vaucanson ; mais également un autre lycée à Tours16.     Une rue Jacques de Vaucanson a été inaugurée à Châlons-en-Champagne dans les années 2000.     Dans la bande dessinée Mystérieuse matin, midi et soir de Jean-Claude Forest, un robot androïde porte le nom de Wladimir Vaucanson.     Dans la série de bande dessinée Donjon de Joann Sfar et Lewis Trondheim, le duché de Vaucanson, dont le plus célèbre représentant est le canard Herbert duc de Vaucanson, descendant de Julien de Vaucanson réputé pour son savoir-faire sans égal dans la réalisation d’automates volants et d’autres automates si réalistes qu’ils se fondent parmi les êtres vivants et suivent des lois inspirées des trois lois de la robotique, ces automates ne peuvent mentir ni tuer et sont animés grâce à une flamme de vie obtenue auprès du grand Kalador, un démon.     Jacques de Vaucanson apparaît dans le roman La Vénus anatomique de Xavier Mauméjean. Buste de Jacques Vaucanson (repris ultérieurement en illustration par Alexandre Debelle - 1805-1897).     Voltaire fit sur lui les vers suivants : « Le hardi Vaucanson, rival de Prométhée, / Semblait, de la nature imitant les ressorts, / Prendre le feu des cieux pour animer les corps10. »     Jacques de Vaucanson est cité dans le roman de Theodore Roszak Les Mémoires d'Elizabeth Frankenstein. Dans ce livre, son célèbre canard fait partie de la collection privée d'automates du baron Frankenstein, le père adoptif de l'héroïne.     Frédéric Bastiat cite Vaucanson à la fin de La Loi, à propos de l'humanité : « Je m'en occupe non comme Vaucanson, de son automate, mais comme un physiologiste, de l'organisme humain : pour l'étudier et l'admirer ».     Frank Herbert fait référence à Vaucanson dans son ouvrage Destination vide, dans une discussion sur la problématique théologique de créer une imitation de la vie : « Oh, à d'autres, monsieur l'Aumonier ! Nous ne sommes pas au XVIIIe siècle, en train de fabriquer le merveilleux canard de Vaucanson. »     Benoît Sokal rend hommage aux automates et à Jacques de Vaucanson dans Syberia, jeu vidéo dont il est le scénariste. L'intrigue débute dans un petit village des Alpes, Valadilène (ville de fiction), où se trouve une ancienne fabrique d'automates ayant été autrefois prospère, et qui n'est pas sans rappeler le développement de l'industrie métallurgique aux alentours de Grenoble au début du XIXe siècle17. De plus, le nom de la ville et de la propriétaire de l'usine (Valadilène et Voralberg) ont des consonances fortes avec celui de J. de Vaucanson...     En 1965, Jean-Pierre Decourt réalise un film de télévision intitulé Le Chef-d'œuvre de Vaucanson, qui sera diffusé le 22 mai 1965 dans le cadre de l'émission Le Théâtre de la jeunesse de Claude Santelli.     La promotion 2009 d'élèves-ingénieurs du Conservatoire national des arts et métiers porte son nom.     Un logiciel d'édition d'automates en LaTeX porte son nom.     Les programmes de 4e de technologies sont sur lui.     Une bibliothèque de traitements d'automates porte son nom18.     Le roman Mason & Dixon de Thomas Pynchon con
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